Les Provinces de l’Équateur, notamment Sankuru, Sud-Ubangi, Tshuapa, Tshopo, Sud-Kivu, Mongala et Maï-Ndombe, sont actuellement les plus touchées par l’épidémie de variole du singe (Mpox).
Selon les données épidémiologiques fournies par le système de gestion de cette crise sanitaire, ces régions enregistrent un nombre élevé de décès, ce qui souligne la gravité de la situation.
En effet, ces provinces font face à des défis importants en matière de santé publique, nécessitant une attention particulière et des interventions ciblées pour limiter la propagation de la maladie.
La gravité de l’épidémie du MONKEYPOX dans ces zones met en lumière le besoin urgent de ressources médicales et de sensibilisation auprès des populations locales afin de limiter les impacts de cette maladie.
Il est crucial de suivre de près l’évolution de la situation dans ces provinces, d’analyser les facteurs contribuant à cette hausse des décès et de mettre en place des stratégies de prévention et de traitement adaptées pour protéger la santé des communautés affectées.
Pourtant, quelques mesures barrières ont été édictées par le ministère de la santé publique pour limiter la propagation : éviter le contact avec les animaux retrouvés morts dans la brousse, bien cuire la viande avant la consommation et éviter tout contact avec les souris, les rats et d’autres maladies trouvés morts.
